Monsieur Charles Lecavalier,
Bureau parlementaire,
Dans votre article intitulé « Un tribunal les oblige à travailler en temps supplémentaire » (Le Journal de Québec, 24 septembre, p. 5), vous utilisez l’appellation « temps supplémentaire » qui est un anglicisme de overtime.
Prière de ne plus imiter le Premier ministre qui emploie à répétition cette appellation, même s’il a été invité à l’éviter à plusieurs reprises et de parler d’HEURES SUPPLÉMENTAIRES.
Merci.
Cette suggestion vous est adressée dans un but constructif, est-il besoin de le mentionner, et non pour faire la leçon. L’écrivain Albert Camus, Prix Nobel de littérature 1957, a écrit : « Les journalistes : les instituteurs du grand nombre. » Vous avez une grande mission.
Veuillez agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.–
Robert AUCLAIR
Association pour le soutien et l’usage de la langue française (Asulf)